Les abris de protection civile NBC protègent en cas de catastrophe d’origine biologique

L’Iran, signataire du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, qui essaie depuis plusieurs années de se procurer l’énergie atomique à des fins, officiellement, civiles. Cependant plusieurs membres de la communauté internationale pensent que ce programme peut être utilisé pour développer l’arme nucléaire, notamment depuis la découverte de l’installation de recherche de Natanz en août 2002, qui n’avait pas été déclarée à l’AIEA. Une troïka européenne (composée de l’Allemagne, de la France et du Royaume-Uni) s’est formée et tente de pousser l’Iran à accepter un contrôle strict de son programme civil par les experts de l’AIEA. Israël et les États-Unis pour leur part laissent planer le déclenchement de représailles militaires si l’existence d’un programme militaire venait à être confirmée. Au début du mois de janvier 2006, l’Europe et les États-Unis se sont mis d’accord pour présenter l’affaire devant le Conseil de sécurité de l’ONU.

Le Brésil, qui est soupçonné par la communauté internationale de vouloir développer un programme nucléaire. Le président Lula a signé un accord en 2008 avec l’Argentine pour le développement conjoint d’un programme nucléaire, qui n’écarte pas un possible volet militaire (construction de sous-marins nucléaires).

L’Algérie, qui est soupçonnée de vouloir développer un programme nucléaire. Les Algériens ont mis en marche un second réacteur nucléaire, qui est particulièrement protégé. Elle suscite des craintes chez les Américains à cause de la taille de ce réacteur, et de la large défense aérienne dont il bénéficie. Une enquête de la CIA avait conclu à l’éventuelle utilisation militaire du réacteur nucléaire d’Aïn Oussara (160 km au sud d’Alger).

L’Arabie saoudite, qui est soupçonnée de vouloir développer un programme nucléaire. L’Arabie-Saoudite et le Pakistan auraient signé un accord secret sur « la coopération nucléaire » qui fournirait aux Saoudiens la technologie du nucléaire en échange de pétrole bon marché.

La Syrie, qui est soupçonnée par les États-Unis de vouloir développer un programme nucléaire. Un site bombardé en 2007 par l’aviation israélienne aurait pu abrité une centrale de production de plutonium. Des traces suspectes d’uranium ont également été trouvées sur le site bombardé et sur celui d’un réacteur de recherche à Damas.

 

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